Brève Histoire d’Une Soirée Festive

Kasım 19, 2025

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Babes

Cette année, pour la fête de fin d’année du bureau, juste avant Noël, le patron nous a tous invités chez lui. Il nous a prévenus, il y aura une animation spéciale. La règle, c’est que chacun des gars ne pourra pénétrer qu’une seule fois dans la chambre. Le problème, c’est que je suis arrivé avec presqu’une heure de retard, et que je me suis retrouvé le dernier dans la file d’attente.

Je suis le dernier dans la file d’attente, en bas des escaliers qui mènent à l’étage. Le patron nous a juste dit que ça valait vraiment le coup. Pourquoi est-ce que chaque mec ne peut visiter la chambre qu’une seule fois? Qu’est-ce qui nous attend derrière la porte gardée par le patron hilare? Il fait ses recommandations aux gars qui ressortent :

« Pas un mot, à personne, laisse-leur la surprise ! »

J’écoute les commentaires des hommes heureux qui passent devant moi en redescendant les escaliers et en faisant un signe du pouce aux suivants. Certains ne peuvent même pas contenir l’excitation dans leur voix :

« Ne t’inquiète pas, ça vaut le coup d’attendre » ou « Tu vas avoir le sourire pendant des jours »

Je suis à la fois anxieux et excité, mais je dois attendre mon tour. Je regarde la montre à mon poignet pour la millionième fois, en me demandant combien de temps je devrais encore patienter. Mon patron passe devant moi en redescendant les escaliers. Il sourit en me voyant regarder anxieusement ma montre.

« Oh, tu n’as plus longtemps à attendre, crois-moi ! »

Mon patron est un type gentil et un véritable ami, mais je ne peux pas m’empêcher de me demander qu’est-ce qui se cache derrière cette porte fermée. Mon esprit s’égare vers les diverses possibilités. Une pute? Une collaboratrice? Peut-être une amie de sa femme? Sa femme est-elle au courant? Pour que les gars qui ressortent de la chambre aient l’air si heureux, c’est forcément une femme superbe !

Je suis tellement perdu dans mes pensées que je ne me rends même pas compte que je suis seul en haut des escaliers. Mon cœur bat fort dans ma poitrine et mes paumes sont moites. Je regarde la porte fermée en me demandant ce qui m’attend dans la chambre.

La porte s’ouvre et le comptable sort en la refermant soigneusement derrière lui. Ses cheveux sont en bataille et son visage est tout rouge. Il me sourit. Il a l’air heureux, comme les autres.

« Bon sang, tu vas te régaler » Dit-il en passant devant moi, avant de s’engager dans l’escalier.

« Tu ne regretteras pas d’être le dernier »

Mes yeux se dirigent vers la porte, puis vers le bas des escaliers, là où tous mes collègues urfa escort sont réunis. Ils parlent, rient et boivent en profitant de la fête. Ils ont tous eu leur tour à l’intérieur. Maintenant, c’est mon tour. J’hésite un instant, je prends une grande inspiration, puis je m’approche de la porte. Lentement, je tourne la poignée et j’entre.

Les lumières tamisées maintiennent une pénombre mystérieuse. Mes yeux s’habituent peu à peu à l’obscurité, je vois un grand lit avec une fille nue allongée dessus. Elle attachée à chaque montant du lit. Elle est allongée sur le dos, les bras et les jambes écartés, retenus par des cordes aux quatre coins du lit.

Elle est couverte de sperme. Sur son ventre, ses cuisses et sa chatte. Tout son corps en est couvert. C’est comme une poubelle à sperme pour tous mes collègues de bureau.

Elle a de belles jambes et son pubis est parfaitement rasé. Elle a de beaux seins qui pointent vers le plafond. Eux aussi sont recouverts de sperme. Elle respire fort et je vois sa poitrine se soulever et s’abaisser. Je me demande combien d’hommes l’ont baisée ce soir.

« Es-tu le dernier? » Murmure-t-elle d’une voix lasse.

« Oui, je suis le dernier » Je réponds en m’approchant.

« Bon, ne reste pas planté là, dit-elle avec impatience. Déshabille-toi et baise-moi. On n’aura pas fini tant que tu n’auras pas joui ! »

Dit comme ça, ce n’est pas très enthousiasmant, mais je ne perds pas de temps et j’enlève hâtivement mes vêtements. Plus proche du lit, les détails de son corps sont plus clairs. Ses cuisses laiteuses sont poisseuses car souillées de sperme. Sa chatte boursouflée et béante dégueule son trop-plein de sperme. Son ventre abrite une flaque de sperme sur son nombril. Ses seins marmoréens continuent de se soulever au rythme de sa respiration, le sperme coule entre ses mamelons.

Debout à côté du lit, je peux mieux voir son visage. Ses yeux sont écarquillés par la stupeur et la crainte. Sa bouche essaye de me dire quelque chose, mais aucun son n’en sort.

Brusquement, je réalise que c’est ma propre fille qui est attachée sur ce lit, le visage trempé de larmes. Le sperme coule de la commissure de ses lèvres. Je regarde son corps nu, elle est magnifique. Je suis choqué de réaliser que c’est ma fille qui fait la pute. Elle est couverte de la tête aux pieds du sperme des braves gars avec qui je travaille tous les jours.

« Papa ! » murmure-t-elle, la voix tremblante. « Oh mon Dieu ! Papa ! »

« Mais comment… Toi ici… Pourquoi? » Je bafouille, anéanti par cette sivas escort découverte.

« Je suis désolée, pardonne-moi, papa ! » murmure-t-elle, les larmes aux yeux.

« Je fais ça pour l’argent, pour ma came ! Je ne pouvais pas me douter que tu serais là ! »

Le coup de massue est énorme. Ma fille se prostitue pour payer sa drogue. Depuis longtemps? Une gamine d’à peine 20 ans si sage, si discrète, si tranquille. Comment aurais-je pu me douter?

Je regarde son corps nu et couvert de sperme. Elle est magnifique. Inconsciemment, ma bite commence à se dresser pendant que je détaille ses formes exquises. C’est honteux. Je suis un monstre. C’est dégueulasse. Je le sais, mais je ne suis qu’un homme. Même si c’est ma fille, j’en ai envie.

« S’il te plaît, papa, pardonne-moi » Supplie-t-elle, avant de voir mon érection se dresser entre mes jambes.

Je grimpe sur le lit, m’installe entre ses jambes écartées. Je suis dur maintenant. Ma bite a besoin de baiser cette fille offerte.

« Qu’est-ce que tu fais? » Demande-t-elle, la voix tremblante.

« Tu t’es engagée pour ça » Je lui dit, en caressant avec mon sexe sa fente boursouflée.

« Tu es payée pour ça. C’est ton job. Tu as baisé avec tous mes collègues. Alors termine ton travail »

« Tu as raison, soupire-t-elle. Tu as toujours raison, papa »

Je pousse le bout de ma bite dans sa chatte douloureuse qui s’ouvre pour moi. Ma bite glisse facilement dans son trou béant et gorgé de sperme. Je n’ai aucune compassion, aucune pitié. Cette salope n’est plus ma fille. Elle m’a trompée, m’a trahie. Tout ce que je veux, c’est baiser cette pute. Prendre mon plaisir et partir en la laissant attachée sur le lit.

Je la pénètre jusqu’au fond, puis je ressors entièrement. Je prends ma bite en main et je heurte son clitoris à plusieurs reprises. Puis je pénètre de nouveau violemment jusqu’au fond. Je vais lui montrer comment je baise une pute, à cette salope. Mes yeux se posent sur ses seins de bakélite qui s’agitent.

« Comment ça se fait que tes nichons tiennent si droits, t’as des implants? »

Elle ne me répond pas, tourne la tête de côté en refermant ses jolis yeux pleins de larmes. Mes mains pressent ses seins pour en apprécier le galbe et la fermeté. Je pince ses tétons en tirant dessus. Elle se mord les lèvres. Je la baise de plus en plus fort, nos chairs claquent et la tête de lit heurte le mur. Elle gémit.

« C’est ça, soit une bonne fille »

Je la baise aussi vite et aussi fort que je peux, mes mains tordent ses seins. tekirdağ escort Elle gémit et halète bruyamment, ses hanches se soulèvent à ma rencontre.

« Est-ce qu’un mec t’a fait jouir? » Je lui demande en voyant qu’elle est presque en transes.

« Non, aucun n’a réussi » Elle a les yeux qui se révulsent.

« Est-ce que tu veux jouir avec moi? » Je demande, en sentant la pression monter dans mes couilles.

« Oui ! » Crie-t-elle, son corps frémissant de plaisir. « Oui, papa ! Je veux jouir ! »

Je baise ma pute de fille aussi brutalement que je le peux, et je vois son visage déformé de plaisir. Elle ne pleure plus, ne gémit plus, elle jouit en criant de bonheur. Elle se cambre, hausse son bassin à ma rencontre en tirant sur ses liens. Je sens sa vulve se crisper autour de ma bite.

Je suis incapable de me retenir plus longtemps. Ma bite crache mon sperme chaud et épais par saccades, en inondant sa chatte déjà bien remplie. Elle se calme peu à peu, haletante et gémissante, les yeux mi-clos. Je me retire et je reste agenouillé entre ses jambes écartées par les liens.

« Je suis désolée, papa, vraiment désolée. Je te demande pardon »

« Ne sois pas désolée, je ne t’en veux pas. Mais ne disons rien à ta mère ! »

« Jamais ! Ce sera notre secret »

« Je vais dire à mon patron que j’ai fini. Il viendra te délivrer. Repose-toi, tu as fait du bon travail »

« Merci, papa »

Je contemple une dernière fois le magnifique corps nu de ma fille. Je regarde le trop-plein de sperme s’écouler de sa chatte martyrisée. Je suis fier de ma fille. Elle a toujours été une bonne fille. Je n’ai pas toujours été un bon père. Mais je n’aurais jamais pu supposer qu’elle ferait quelque chose comme ça, même si une partie de moi reste fier d’elle.

Je quitte la chambre en refermant doucement la porte derrière moi. Mon patron pérore au salon, un sourire suffisant sur le visage.

« Alors, tu as pris ton pied? » Me demande-t-il.

« Elle était fabuleuse. Elle m’a demandé de la ramener à la maison avec moi »

« Espèce de chien » Il se marre en me tapotant l’épaule.

« Tu as dû bien la baiser, cette petite pute »

« Tu ne peux pas te douter à quel point ! »

« Je vais la détacher et tu pourras la ramener chez toi »

C’est lorsqu’il me dit cela que je comprends qu’il sait que la fille qu’il a engagée, c’est ma fille. La course qu’il m’a demandé de faire pour lui, et qui m’a fait arriver en retard, c’était pour que je passe en dernier.

« J’espère que nous pourrons la convaincre de refaire ça l’année prochaine, même si elle me coûte un bras ! »

« Moi aussi ! » Tous les gars sont d’accord.

« Sales bâtards ! » Dit-il en riant.

Puis il se tourne vers moi : « La prochaine fois, tu passeras en premier ! »

« Je n’oublierai pas de te rappeler ta promesse ! »

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